15 Février 2016
Seulement 2 mois après l'ouverture du garage, le deuxième souci avec le bailleur retenti déjà...
On est encore très loin de se douter ce que l'avenir nous réserve sur ce sujet !
Le stock de peinture
Lorsque le fond de commerce a été acheté, un stock de pièces détachées et de peinture était présent, et par conséquent nous avons procéder à l'achat en parallèle du fond, à un prix convenu entre les parties.
Le stock de peinture a été évalué à 5000€ HT, une peinture de seconde zone, certes, mais utile pour la remise en état de certains véhicules qui requièrent pas une qualité extrême.
Le fournisseur de peinture
Mais voilà, en février 2016, soit 2 mois après l'ouverture, un fournisseur de peinture revendiquant sa propriété concernant le stock de peinture que l'on avait acheté, vient récupérer ses biens, documents à l'appui.
Vente illégale ?
Après renseignements pris, vérifications des documents présentés, il s'avère que le propriétaire bailleur nous a vendu un stock de peinture à 5000€ ne lui appartenant pas...
Nous sommes dans l'obligation de laisser partir ce stock de peinture pourtant acheté, car il ne nous appartient pas ! Le bailleur n'a alors absolument rien entrepris pour rectifier ce désagrément qui affecte déjà notre société fraichement ouverte.
Nouveau fournisseur de peinture
Nous avions, avant l'ouverture du garage négocié un nouveau stock de peinture haut de gamme pour les travaux à réaliser. Par conséquent, à part le problème financier, cela ne nous affecte pas au quotidien, mais met en évidence un sérieux problème d'honnêteté du bailleur.
La suite ne sera que meilleure...
Anecdote(s)
Un exemple flagrant de mauvaise foi, en décembre 2015, je décide de monter le support enseigne, qui deviendra ensuite le support de la Clio déco sur le parking.
Un vrai business à hisser avec ses 6 mètres de haut, mais comme il veut vendre son garage à tout prix, ce jour là, avec 2 de nos amis, il nous donne un coup de main pour le monter, notamment en utilisant une nacelle.
Des photos ont été prises pour l'évènement. Seulement voilà, après l'épisode de la peinture, donc en mars 2016, il m'envoie un courrier en me disant : "J'aimerai bien être au courant quand vous faites une modification sur le parking" en mentionnant ainsi le support enseigne, dont il a participé...
Alors seule réponse, je lui envoie les photos ou on peut clairement l'apercevoir...
Cela a coupé court au courrier car je n'ai d'ailleurs jamais reçu de réponse par la suite !
Un autre tout autant délirant, se disant propre sur lui, il a été locataire d'un bâtiment appartenant à un de nos nombreux clients. Et là ou ça devient extraordinaire, c'est le fait d'avoir 6 mois de loyers non honorés de sa part...
La clause abusive " résolutoire " ne devait pas être présente dans le bail sans doute !
La préméditation de cette clause dans notre bail n'étant pas un hasard, cela s'appelle l'expérience.
Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais...
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